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et bons amys, alliez et confederez, qu'il vous ayt en sa saincte garde. Escript à Fontainebleau, le XV1J° de may 1605. _ HENRY. ' ni : Nnurvtttn. [1605. ]—— 2 1 MA1. — I'°. Cop. - Suppl. fr. Ms. 1009-a. (D’&DI`èS Tautographe qui était dans le cabinet du dernier _ ' duc de Sully.) [AU DUC D’EPERNON‘.] Mon Cousin, Je vous ay mande ma volonte par Escures. Vous de- sirés parler à moy, devant que jlacheve cest ollice. Je le veux ; venés i donc me trouver, bien resolu de suivre mes volontez, car le serviteur qui veut estre aimé de son maistre luy tesmoigne toute obeïssance. Vostre lettre est d’l1omme en colere ; je n’y suis pas encore : je vous prie, ne m’y mettés pas. Escure vous dira le surplus, croyés-le. Ce xxf may, à Fontainebleau. i . HENRY. 1 ]605. — 21 MAI. ——II“‘°. Orig. - - Archives de la ville de Bâle. — Copie transmise par M-. le professeur Gerlach. A NOS TRES CHERS ET GRANDS AMYS, ALLIEZ ET CONFEDEREZ, LES BOURGUEMESTRES, CONSEILS ET COMMUNAULTEZ DE LA VILLE ET CANTON DE BASLE. ' Tres chers et grands amys, alliez et coniederez, Aimans et allec- tionnans comme nous faisons les s" des Ligues Grises, nous voulons avoir leurs affaires en pareille recommandation que les nostres, et ayant entendu ce qui se passe entre les Ligues Grises et ceux de Milan, nous avons commandé au s' de Caumartin, nostre ambassa- deur par delà, de vous voir sur ce subject, et vous representer que ‘ Cette lettre est donnée, par l'abbé de l'Écluse, comme adressée à Rosny. Voyez ci- dessus la note sur la lettre du 13 mai.
