Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome6.djvu/463

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_ y DE_HENBl IV. i Ãl5l tuné diiceluy, de quoy je scay bien que je seray pressé à toute heure. Attendant les dictes remonstrances, et ceste cy n’estant à aultre lin, je . prieray Dieu vous avoir, Mons' de la Force, en sa saincte garde. Es cript à S*~Gern1ain-en-Laye, le 1x° jour de juin 1605. . HENRY. i ni : LOMENIE. ‘ i [1605.] — g wm. — II"‘°. Orig. autographe. — Musée britannique, Mss. Egerton, vol. 5, fol. 1 1 1. Transcription de M. Delpit. Cop. 5 Arch. de M. le duc dela Force. -’ Imprimé. — Mémoires de la Force, publiés par M. le marquis on LA GRANGE, t. I", p. 396. A MONS“ DE LA FORCE. Mons' de la Force, Par mon aultre, je fais ample response à celle que VOUS miavés escripte par d’AVaI1Ce, sur liappreliension que CGIIX de la religion prétendue réformée de mon pays de Bearn ont du ~ Voyage des evesques du dict pays vers moy. Ceste-cy Sera pour VOUS ° dire que j’ay esté tres aise d’apprendre ce que vous me mandés tou- Cllëllll. Sm-ESÈBVG 1, et le SCTHV €DCOI‘€ Pl.LlS (IC SQ3VOl]` CE'. (IUE} VOUS (BD avés appris depuis. le trouve fort bien que le dict Avance aille, avec vostre troisiesme fils 2, en Flandres, allin que là il apprenne à se rendre _ plus capable de me servir, car, vous aimant et ses freres, il doit es—_ ‘ C`était un agent employé par M. de de Valence dit que c’est le roy dlAngle- la Force auprès des Morisques, dont on . terre qui a donné au roy d’Espag11e les ne cessait de préparer le soulèvement advis de ses negociations, qu’il a esté mis contre l’Espagne. Il fut arrêté à Valence à la question trois ou quatre lois, tant le 23 avril 1605, comme nous Yapprend qu'il est estropié, que bien qu’il ayt souf- une note de M. de la Grange. Dans une fert la question, ensemble quelques Mo- des lettres qu'il a publiées à la suite de riscados, on tient toutesfois qu’il sera exe- ` . celle-ci et qui fut écrite le Z1 août à M. de cuté. » ll le fut en ellet. la Force par une autre personne employée ‘ Jacques de Caumont, sieur de Mas- il ces mêmes négociations, nous lisons : gezir, tué au siège de Juliers, en 1610. ’ ' « Et pour les nouvelles du misérable Pas- (Note dc M. dc la Grange.) . chal de Sainte-Estève, le même homme _ ’ 57.