vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à S‘-Germain-en-Laye,
ce auf jour d’aoust 1605.
_ HENRY.
roacar.
1605. — 1 2 Aoûr. — III". I
Imprimé. — OE’con0mies royales, édit. orig. t. II, chap. 51.
[A M. DE ROSNY.] i
Mon Cousin, .I'ay respondu à vostre lettre du Vlllc aoust et ay receu
presentement celle du x°, suivant laquelle je trouve bon, voire neces- i
saire, que ceux par lesquels Fassemblée qui a esté tenue à Chastelle-
rault, qui entendent et desirent de me venir saluer et remercier de ce `
qui s’est passé, ellectuent leur proposition. Au moyen de quoy vous le
leur permettrés et les conforterés, les asseurant qu’ils seront les tres
e bien venus. Je rie Dieu, mon Cousin, u’il vous a en sa saincte
P (I
, et digne garde. Escript à S°-Germain, le XIJ8 aoust 1605.
__ i HENRY.
' ms u1s¤rv11.1.1a.
[1605.]-17 Aoûr.
Orig. autographe. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 9074, fol. 1. i
Cop. — Suppl. Fr. Ms. l009-2.
A MON COMPERE LE CONNESTABLE DE FRANCE.
Mon compere, Vous sçavés comme _j’aime le s' de S'*’—Marie, que
_j'ay nourry, et pour ce que j’ay sceu que sa partie est par delà, je luy .
ay commandé de vous aller trouver pour vous faire entendre le me-
rite de sa cause, et vous en ay bien voulu particulierement faire ce
mot pour vous prier de l’avoir pour recommandé comme serviteur
` que j’aime et que _j’aH’ectionne. Bonjour, mon compere. Ce xv1_]° aoust,
à Sainct-Germain en—Laye., _
, HENRY.
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