prosperité, laquelle aussy sera employée pour le bien et advantage
de vostre maison en toutes les occasions ui se resenteront, ains
(1 P Y
que vous cognoistrés par eliect, et que le dict de Montglat vous
fera plus amplement entendre : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous
ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le XXlJ€jOl1I` de feb-
vrier 1606.
` HENRY.
[1606.] — 25 FÉVRIER.
Orig. autographe.-- B. N. Fonds Béthune, Ms. 9138, fol. 28.
A MADAME DE MONGLAT.
Madame de Monglat, Je vous depesche ce lacquay esprés pour
vous dire que, incontinent que ceste-cy vous sera rendue, vous en-
voyiés quelqu’un icy pour recognoistre ce qui est necessaire pour le
logement de mes enfans en ce lieu, d’autant que je veux les y faire
venir aussy tost, pour, aprés y avoir sejourné quelques jours, les en- [
vo er à Fontainebleau. A Dieu, Madame de Mon la t. Ce xxv° febvrier,
Y . È (
à Paris.
HENRY.
[1606.]-- 6 MARS.
Imprimé. - (Economics royales, édit. orig. t. 111, chap. 22.
[AU DUC DE SULLY.]
Mon amy, Sur ce que je viens d’estre adverty qu’il y a quatre de
vos canonuiers de Fere-en-Tardenois qui vont trouver m' de Bouillon,
et pour cest efliect il leur a envoyé des chevaux, je vous ay faict ce
mot aussy tost que je l’ay sceu, aflin que vous vous en enqueriés,
_ pource qu’ils meritoient bien punition : et ceste cy n'estant à aultre
fin, ] Dieu vous a t, mon am, en sa arde. Ce v ° mars au soir, a Fon-
Y Y g _.l
tainebleau.
HENRY.
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