A DE HENRI IV. V 605 1606. — xl ; Avn1L.—I'°. — - Orig. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 90!1’7, fol. lut. ’ Cop. - B. N. Suppl. fr. Ms. 1009-2. [AU CONNÉTABLE.] Mon Cousin, J’avois ja commandé que vostre compagnie de gens . d’armes fust renvoyée, quand le s“ du Trans m’a apporté vostre lettre du lle de ce mois, et ay neantmoins entendu avec grand contentement la diligence dont vous avés usé pour mettre vostre dicte compagnie en estat de me rendre service et la faire acheminer vers le lieu ou vous croyiés que j’en devois affaire. Tarrivay hier en ceste ville, d’ou je fais estat de partir demain pour prendre le chemin de Viliers- Cotterets, ou je sejourneray quelque temps pour y courre des cerfs, _ et serois bien ayse de vous y voir, si vostre santé le permet, laquelle je me resjouys que vous aves commencé à recouvrer, et prie Dieu, mon Cousin, qu’il la vous redonne en perfection et vous y maintienne longuement. Escript à Reims, le x11i_]° jour d’avril 1606.
Mon Cousin, Nous avons faict un si mauvais chemin, que le bagage n’est encores arrivé en ceste ville : de sorte que je me suis resolu de ne partir que dimanche. ‘
nn ivsurvirrs. i [1606.] — 1l ; Avait,. I Orig. autographe. — Musée britannique, in-li°, Mss. additionnels, vol. 5375, lettre A1. Envoi de M. Yambassadeur de France à Londres. A MONS*‘ DE BELLIEVBE, cu.mcm.1.1m>. ma ramer. Mons" le chancellier, .1’ay commandé à m' le garde des sceaulx‘ de vous faire entendre ce qui est de ma volonté et intention, sur ce que U ’ Nous avons ditci-dessus que les sceaux tomne de l’année précédente, pour être avaient été retirés àM.de Bellièvre, à1’au- remis à M. de Sillery, M. de Bellièvre,
