’ i C DE —HENBI 1V. 13,1 ` bientost assembler à Heidelbergsoù jeavous prie de continuer, comme vous aves- bien commencé, ài promouvoirautant qu’il vous sera, pos- sible, l’ell’ect de ma bonne resolutionysur ce subject, aflin que, ceux qui y sont interessez en puissent recevoir le fruict que l’on doibt attendre de Yacbeminement d’une si belleuet louable action, pour lequel je sçayce que par vostre credit, auctorite et direction vous y pouves contribuer ; le s' de P1essen’ s’en retournant pour se trouver . en la dicte assembléefbien instruict et informé de mes intentions pour ce regard, où je nfasseure qu’il vous eonferera telle part que ' merite l'afl’ection que vous portés à Yachevement de ceste aflaire. Je rie Dieu, mon Cousin, u’il vous a t en sa saincte et di ne arde. (I Y È ESCTI t à Chantal} ;le xv° our de mars 160, v,. Y J 7 . [HENRY.] » ~ ~ [1607, ] — 15 mns. — I1“*°._ . ' _ Imprimé. — (Economics royales, édit. orig. t. Ill, ch. g. ‘ ' i_ [AU DUC DENSULLY.] A I I Mon amy, Vous aves assez de fois veu les poursuictes que les ` tapissiers flamans ont faictes pour estre satisfaietsde ce qui leur avoit -esté promis pour leur establissement en ce Royaume ; de quoy ayant une derniere lois traité en la personne de vous et de m' le garde des sceaux ; je me resolus enlin "de leur faire bailler cent mille livres ; mais ils sont tousjours sur leurs premieres plaintes s’ils n’en sont payez. Cest pourquoy je vous fais ce mot pour vous dire que j’ay un extreme desir de les conserver ; et pour ceque cela despend du tout . du payement de la dicte somme, vous les en fetes incontinent dresser ; en sorte qu’ils n’ayent plus de subject de retourner à moy, car autre- _ ’ C'étàît 1'envoyé de Yélecteur palatin ; comme on le voit dans la lettre de Hen riIV A son nom revient plusieurs fois. Il ne partit au landgrave de Hesse, duA28 mars. (111.311 COIHIIICHCBIDCDÈ du l'l`10iS suivant, . ’ ' Cette lettre etait de la main du Roi. i 17 .
