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vice de celuy que _j'en feray pourveoir, pour eviter autant qu’il _me sera possible les inconveniens esquels, à faulte de ces qualitez—la, mes allaires peuvent tomber, et ne faire rien en ceste afiaire à la haste, ny sans vostre advis, et de celuy de m' le garde des sceaux. A Dieu, mon amy. Ce XVIIJB mars, à Merlou. _ HENRY. [1607.]- [18 ou ng Mans.] Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. [A UN CARDINAL.] - Mon Cousin, Il n’estoit poinct besoin de me faire rafreschir, par . vestre lettre du Xllc de febvrier, la memoire pour la faveur que _j’ay entendu faire au s' Galerie Vigilanti en l’honorant du collier de men ordre à vostre recommandation 1; carjlen auray bonne seuvenanee, et vous tesmoigneray en toute occasion combien festime la bonne volonté que vous me portés, et desire vous faire pareistre que vostre i contentement me sera teusjeurs Singulierement recommandé, ainsy que vous entendrés plus particulierement du s' d’Halinceurt, mon ambassadeur ; sur lequel me remettant, je prie Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa tres saincte et digne garde. Escript à Merlou, le .... .
` ' Voyez ci dessus la cinquième des let- geait aura sans doute réplique en deman- tres écrites dans les dix derniers jours de dant cette faveur pour l'époque où il aurait décembre, où le Bei exprime le regret de atteint cet âge. Delà, cette seconde lettre, ne pouvoir nommer Galerie Vigilanti che- où la demande paraît accueillie à de telles valier de Saint-Michel, parce qu’il n'avait conditions. i pas l'âge voulu.' Le cardinal qui le proté-
