}9l1. LETTPEES MISSIVES qu`à peine peut-elle souffrir aucun ce qui me fait donc vous recommander davantage d'y pourveoir avec diligence. Et comme _vous sçavés qu’en toutes occasions je desire vous tesmoigner mon aH’ection, aussy vous asseurés-vous particulierement qu’aprés ceste surseance j'essayeray en celle-cy d’apporter tout ce que j’y penseray U vous pouvoir estre utile, et supportable à mes subjects : sur quoy, je prieray Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte garde. Escript 1. à Fontainebleau, ce XX1lJc jour d'avril 1607. ‘ HENRY. c . l607. —— 2l ; avan,. — I“’. Cop. —B. I. Fonds Leydet, liasse VI. Extr. des arch. de l’abbaye de Peyraux. U ' [A M. DE LONS.] ' Mons' de Lonsl, Ayant esté adverty que le s' de la Morliere a espousé vostre lille sans vostre permission, et que estant meu d’un juste courroux vous vouldriés vous ressentir de ceste oilense, au pre- judice de l’amitié qu’une telle alliance doibt produire, je vous fais la presente pour vous prier et conjurer, autant qu'il m’est possible, d’ou.bli er ce` qui s’est passé pour cela entre vous et luy, et de le prendre en vostre amitié pour l’amour de moy, sur Yasseurance que i je vous donne qu’il ne manquera faire son debvoir et vous rendra . tous les oilices d’amitié que l’on peut attendre d'un bon fils. En cela _ ' je vous en auray autant de gré que d’aulcun service que vous me puissiés rendre. C’est chose que je me promets que vous ferés : et ` sur ceste croyance, attendant de vos nouvelles, je prieray Dieu, Mons' de Lons, vous avoir en sa saincte et digne garde. Escript à Fontainebleau, ce xx111_}° avril 1607. A
y ma noname. l François de Royère, seigneur de Lons, fils d'Ét ienne de’Boyère et de Françoi§ ( de Grignols. ~ `
