DE HENRI IV. 325 1607. — 28 JUILLET. - I". Orîg. — B. I. Fonds Béthune, Ms. 9093, lol. 17. Cop. —Arcl1ives de M. le marquis de la Grange. A MON COUSIN LE DUC DE MONTMORENCY, i mm nr coumzsranns na rxmvcn 1-: 1 Mou LIEUCTENANT orunnm, nx LANGUEDOC. Mon_Cousin, J’ay eu à plaisir d’entendre par vostre lettre du xxvi° juin le bon ordre que vous aves donné à la perquisition de ceulx qui peuvent OSITC coulpables (IO IIHSSHSSIDHIZ COUIIDIS OD la POTSODDO (IU feu CHPPIIHIDC Sueilles, SOHCIIHDIÃ 31.1SSy llI`€S I)OD gré 311 CHPPIIJZIIIIO CVASSHS1, ui estoit son lieutenant, d° avoir contribué ce ui des endoit de (l Y (I P lu ; et vous asseure ue "eusse esté bien aise, our l’amour de vous Y (I J P de le gratillier de la compagnie du d1ct Sue1lles, n’eust esté qu’avant la reception de vostre dicte lettre j’en avois disposé en faveur du s' de Vau uedemare, fils du s' de Gouvernet. Mais "aura bonne souve- S J Y nance des services et de la recommandation que vous m’avés Faicte du dict d’Assas2 aux occasions qui se presenteront de le favoriser : ’ F ulcrand d’Assas, d’une famille pro- en 1638. Il avait épousé Claude de_Ga- testante, ancienne dans le Vigan, sei- briac, fille de Jean de Gabriac et deJeanne gneur de la Vit et cl'Azirou, gentilhomme de Folaquin ; et il fut le trisaîeul de l’hé- ordinaire de la chambre de Henri IV (puis roîque chevalier d’Assas. de Louis XIII), avait pour père Fulcrand ’ Nous voyons, dans la correspondance d’Assas et pour mère Élise de Bonnal, des négociations de Jeannin, que'd’Assas ` Elle de Guillaume de Bonnal et d’Agnès était recommandé aussi par lesçlfitats de de Nogaret. Il était alors capitaine en se- Hollande. Jeaunin, dans une lettre du cond au régiment de Nérestan. En 1611, g juin à M. de Villeroy, écrit, Ã sujet de il se mit au service de la république de cette compagnie du leu capitaine Sueilles : Gênes, et plus tard, dans les dernières « Ils disent que le lieutenant cle la mesme guerres de religion, il fut un des lieute— compagnie la pretend, et qu’on nc la luy nants les plus actifs du duc de Rohan, qui peut oster sans luy faire tort. » Aussi le lui donna le commandement de toute la ’ Boi, dans une lettre du 8 juilletà ses trois vi crie du Vi an, ar commission en ambassadeurs, ou il les char eait de re- Su 8 P S date du 6 octobre 1627. Bentré au service commander de nouveau son protégé aux du Roi, il fut tué àla bataille de Bhinfeld États et au prince Maurice, ajoutait : u que
