par delà, estimant que ce seroit faire tort à vostre aliection. Je vous
prieray seulement le croire comme moy mesme de ce qu’il vous dira
en vous visitant de ma part : et sur ce, je prie Dieu, mon Cousin,
qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Fontainebleau,
le xxv_]° jour de may 1608.
. HENRY.
nautinr.
1608. — 26 MAI. —V“"*.
Cop. — Biblioth. de la ville de Metz. Envoi de M. Clercx, bibliothécaire.
[AU CARDINAL DE GIVRY.]
Mon Cousin, J’ay commandé au s'_ de Breves, mon ambassadeur,
de faire instance à Nostre Tres-Sainct Pere le Pape à ce que les dis-
, tractions faites en l’ordre de Cisteaux au prejudice des droicts et pree-
minences d’iceluy soyent reparées ; à quoy je me promets que vous
vous emploierés aussy dlautant plus volontiers qu’il y va de mon ser-
vice et auctorité, pour l'interest que _j’ay à la protection du dict
ordre, ainsy que vous verres plus particulierement par les memoires
que _]°en ay l’aict bailler au dict s' de Breves ; vous asseurant que je
tiendray à service tres agreable le bon succés que j’en attends de
vostre entremise : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa
saincte et digne garde. Escript à Fontainebleau, le XXV`]c jour de
may 1608.
” ° HENRY.
1608.- 26 MM. —VI"‘°. `
Cap. -- B. I. Suppl. fr. Ms. 1009-2, d’après Yoriginal, du cabinet de M. de Mendajors.
A [AU CONNÉTABLE.]
Mon Cousin, Ayant considere ce que vous m’avés escript touchant
l'a_]0urnement personnel donné en ma court de parlement de Tou-
louse contre le s' de Sainct-Geniés, gouverneur de ma ville de Nar-
C
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LETTRES MISSIVES