Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/648

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I DE HENRI IV. 63l n’afTectionne plus vostre prosperité et celle des dicts s"‘ les Estats ny peut estre à tous plus utile que moy, qui prie Dieu, mon Cousin, vous avoir en sa saincte garde. Escript à Fontainebleau, le Xillljc octobre 1608. Vostre bon amy,

HENRY.

. nnutanr. ` [1608.]— 25 oc ro1sn1=:. — I". Orig. autographe. — Cabinet de M. le général comte de la Loyère. A MON COUSIN LE DUC DE SULLY. ~ Mon amy, C’est en faveur des comediens italiens que jeivous fais • ce mot, pour vous dire que, ayant appris qu'ils s’en veulent retourner en leur pays, vous leur faciès payer ce qui leur est deub des moys passez, oestuy—cy compms, à ce qu'1ls puzssent part1r quand 1lS vou- ` dront ; et lors de leur partement, si j’ay envie de leur donner quelque chose, je le feray. X Dieu, mon amy. Ce xxv" octobre, à Fontaine- bleauï i HENRY. [1608.] — 2 5 ocronnn. — II". Imprimé.—G¥conomic : royales, édit. orig. t. III, chap. 25. I • [AU DUC DE SULLY.] Mon amy, Le marquis d'Oraison' arriva icy à trois heures, aprés que vous en fustes party, qui me courtisa fort, et ce par le conseil de ’ Au dos est écrit de la main de Sully : • «Le Roy, du 25 octobre 1608, touchant les comediens italiens. » ‘ Francois d’Oraîson, vicomte de Ca aîné d’Antoine d'Oraison et de Marthe de denet et marquis d'Oraison, était le fils Foix. Le rang considérable qu'il tenait en