. DE HENRI IV. ' . 733 pour marcher à la campagne, quand je le leur ordonneray. A quoy je vous prie tenir la main qu’ils obeissent, et que la dicte compagnie soit la plus forte et complette qu’il vous sera possible ; de quoy me i . reliant en vous, je ne vous en feray la presente plus expresse : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa sainte et digne garde. Escri pt à Fontainebleau, le xxvuje jour de juin 1609. u HENRY. ` saumur. ‘ [1609.] — 29 Jum. 4 Imprimé-.- Olîconomics royales, t. III, chap. 33. [AU DUC DE SULLY.] ` Mon am, A ant entendu ue mon ne veu le comte d’Auver ne I Y Y CI P É , se trouve mal. et qu’1l est besoin pour sa santé qu’il change d’air, je ‘ vous fais ce mot pour vous prier de le laire mettre au pavillon qui est au bout du 'ardin de l’Arsenac, ui re arde sur l’eau, lu baillant des - t .l Il g Y gardes pour la seureté de sa personne, comme vous jugerés qu’il sera necessaire. A Dieu, mon amy. Ce XXIXE juin, à Fontainebleau. A HENRY. 1609. — 1°' JU1Li.E r. Orig. — B. I. Fonds Béthune, Ms. 9072, fol. 6/4. _ Cop. — Suppl. Fr. Ms. 1009-2. A MON COUSIN LE DUC DE MONTMORENCY. ` mm nr comvzsmnrn mx mman, couvnnmsun nr Mon LIEUCTENA N'l‘ essaim. au muvcumnoc. . Mon Cousin, Pou1 reprimer la trop grande licence des duels si frequens parmy mes subjects, et eviter les accidens qui en arrivent journellement, principalement à ma noblesse, par l'advis des princes demon sang, ofnciers de ma Couronne et aultres notables person— nages, que j’a_y souvent faict assembler sur ce subject. jay Faict expel
