dict enrolement, et m’en donnerés advis, afiin que je sçache ou luy
faire adresser mes commandemens. Il vous communiquera aussy ses '
I instructions, et me Ferés service de l’assister en l’eH’eot d’icelles, de ce
qui despendra de vostre auctorité : pria_nt Dieu, mon Cousin, qu'il
vous ayt en sa saincté garde. script à Paris, le xxv11° febvrier 16 10.
A HENRY. *
i naurinr.
1610. — 27`FÉVMEB. — Ill"".
Cop. -- Archivés municipales de Bourges. Envoi de M. Duchapt, conseiller à la cour d’appel.
` A MON COUSIN LE S“ DE LA CHASTBE,
cnmvnina ne Mns onnmas nr Mon Lmucrnmnvr cnunmr au Banny nr oimmvs.
Mon Cousin, `.l’ay veu par la vostre le devoir auquel vous vous \
estés mis pour pourveoir au désordre advenu en ma ville dé Bourges, i
et ay voulu terminer cela en mon conseil, aprés que les procedures
que vous avés faict faire la-dessus, et tous autres, y ont esté véues `
comme vous pourrés cognoistre par l’arrest qui a esté donné ; qui vous
sera monstré par le general l\/lilot, maire de la dicte ville, allin que
les choses 11`allassent plus avant, cessant du tout pour Yadvénir ceste I
representation du roy Hérode, qui .en avoit esté la cause. Continues ‘
donc, comme vous avés tousjours faict, à avoir l°œil ouvert en tout
ce qui sera de bon gouvernement et ce qui sera de mon service. Que -
chascun vive en son débvoir et tranquillité requise au public ; ét ou `
` aucun s’en voudroit distraire, y apportés lé remede préscript par mon `
ordonnance, selon le pouvoir que vous en avés dé moy et la créance
que _}’en ay en vous ; et je prie Dieu, mon Cousin, voustenir en
prospérité. Escript à Paris, le xxv1_]° jour de febvrier 1610.
i A S — HENRY.
. ' ‘ na 1.oMa1v11a.
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