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LE TOUR DU MONDE PARISIEN.

Le sentier du milieu conduit à une porte, ordinairement fermée par deux gigantesques verrous.

Fritz tira les verrous ; nous passâmes.

La Marne coulait, noire et profonde, obscurité humide dans l’obscurité de la nuit.

Le canot de Fritz était amarré près de la porte.

Nous aidant l’un l’autre, nous finîmes par le décrocher : deux avirons furent jetés au fond de la barque ; Fritz sauta le premier, puis je le suivis, traînant à ma suite un énorme drap de calicot, dont je vous donne en cent à deviner l’usage.

Ce drap mérite un chapitre particulier.