Page:Henri Poincaré - Leçons sur la théorie de l'élasticité, 1892.djvu/111

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PETITS MOUVEMENTS d'uN CORPS ÉF-ASTIQUE 401 Par suite : f[(M'+^r:+Zq-[X'I+Y'-ri +ZX)]d- -f/[:p.r + Pi/V + p.^') - (p;? + p^. + p^'oi ^^«^ = o- C'est l'équation que nous avions en vue. Pour en déduire le théorème de Green. il suffit de faire À+."• =<J T,= 7i' =Ç=t'=o Onaalors: • X=—uA: et l'équation devient /(A;-U -0*=y(v|,-;i)rf». 51. Application au problème dynamique. — Nous avons supposé les forces superficielles nulles et nous avons admis que les forces extérieures se réduisent aux forces d'iner- tie ; l'équation devient alors en supprimant le facteur c et remarquant que, les P étant nuls, la seconde intégrale disparaît : Cette équation est vraie aussi si l'on suppose le corps en- castré dans une masse rigide, car :, t , , ^ ,

',

t;' , C sont alors nuls à la surface, et la seconde intégrale disparaît encore.