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82 LEÇONS SUR LA THÉORIE DE l'ÉLASTICITÉ Nous aurons donc dans les solides une expression deWgne renfermant que les a et les p ; il en résulte A'=B. De plus, les pressions dans l'équilibre contraint seront par suite très petites, du même ordre de grandeur que les a et p^ En négligeant les quantités d'ordre supérieur, on aura: A=—N^ A'=-T3 Désormais, par conséquent, nous nous bornerons au cas de V = 0, et nous supposerons de plus le corps isotrope.