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MÉTHODES DE M. BOHLIN.
diques sont convergentes, il n’en est plus de même de celles dont
nous venons de démontrer l’existence, de sorte que cette généralisation
n’a de valeur qu’au point de vue du calcul formel.
210.Cherchons maintenant à nous servir des résultats du
numéro précédent pour démontrer dans le cas général que les
relations (29) sont satisfaites d’elles-mêmes.
À cet effet, posons
et changeons de variables en posant
la forme canonique des équations ne sera pas altérée, et l’on trouvera
et enfin
ou, en tenant compte de (41),
conserve la même forme avec les variables nouvelles, sauf
qu’elle ne sera plus périodique par rapport à
Les nouvelles équations canoniques admettront comme relations invariantes
ce qui prouve que pour on a
et que, de plus, se réduit à une constante je poserai alors