trouve des ressources utilisables pour d’autres genres d’expériences. »
C’est ce qu’il a lui-même fait bien souvent. Ses expériences sur la vitesse de la lumière l’avaient familiarisé avec l’emploi et le réglage des collimateurs. Il s’est rendu compte ainsi du parti que les astronomes pourraient en tirer : il a imaginé plusieurs appareils très portatifs, très faciles à régler et très précis ; le dernier en date est la lunette zénithonadirale, dont il a présenté le plan au Congrès de Géodésie de 1900 et qui permettrait des mesures de latitude relativement rapides et extrêmement exactes. C’est une merveille de précision et une application d’une élégance inattendue des lois les plus simples de l’Optique géométrique.
Citons encore un exemple de l’ingéniosité et de la simplicité que déployait Cornu dans la solution des problèmes d’Optique géométrique.
On a une lunette destinée à l’observation visuelle et achromatisée dans ce but ; on veut l’utiliser pour la photographie, faudra-t-il changer l’objectif ? Pas du tout, il suffira