car si tout l’espace était éclairé, la force vive totale serait infinie et l’application du principe deviendrait illusoire.
Nous supposerons qu’à l’origine des temps l’éther ébranlé se
trouve renfermé dans un parallélipipède rectangle (fig.26)
Fig. 26.
limité par deux plans parallèles au plan d’incidence, par deux
plans parallèles au plan de l’onde incidente et par deux plans
perpendiculaires aux quatre premiers. Nous supposerons de
plus que les dimensions de ce parallélipipède soient très
grandes par rapport à une longueur d’onde de façon à
n’avoir pas à tenir compte des phénomènes de diffraction.
Que deviendra l’ébranlement de l’éther au bout d’un temps L’ébranlement parti d’un point du parallélipipède cheminera d’abord dans la direction du rayon incident jusqu’à sa rencontre en avec le plan de séparation ; là il se divisera en deux parties, l’une ira de en en suivant le rayon réfléchi, l’autre de en en suivant le rayon réfracté. Il marchera