Aller au contenu

Page:Herbert - Essai sur la police générale des grains, 1755.djvu/11

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
À MONSIEUR


DE MAUPERTUIS


DE L’ACADÉMIE FRANÇOISE


ET


PRÉSIDENT DE l’ACADÉMIE
Royale des Sciences & Belles-
Lettres de Prusse.


L’Amitié que je vous ai vouée dès ma plus tendre jeunesse, & la connoissance intime des qualités de votre cœur, m’engagent à vous offrir cet Essai. Ce n’est point au Géomètre, au Philo-