Page:Herbert - Essai sur la police générale des grains, 1755.djvu/12

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sophe, à l’homme célébre que je l’adresse, mais au Citoyen, à l’honnête homme, au véritable ami, qui réunit les Vertus civiles avec les talens de l’esprit. Si vous n’étiez recommandable que par vos travaux & vos lumières, vous feriez des admirateurs, vous n’auriez point d’amis. Jouissez de l’heureux avantage d’être aimé & estimé de ceux qui vous connoissent ; vous le méritez, & vous en sentez tout le prix.

Vous ne trouverez point ici ces calculs profonds, où se déployé toute la sagacité