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avaient jugé bon, cependant, de rapporter le fait à Bhima, ainsi qu’à Nala et à Damayanti. Bhima n’avait eu qu’un sourire dédaigneux : il partageait l’opinion des gardes. Nala et Damayanti n’avaient rien entendu.
Le moment vint pour eux de gagner le pays des Nishadhas. On leur prodigua les présents ; on leur fit tous les bons souhaits. Ils partirent dans un cortège magnifique.
À la suite du cortège, marchait furtivement un être d’assez mauvaise mine, qui ricanait.