Page:Herold - Nala et Damayanti.djvu/75

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de la ville ? Tes sujets se pressent aux portes de ta demeure. Ordonne qu’on leur ouvre. Ils te crieront leur douleur, et peut-être enfin renonceras-tu à un plaisir funeste. »

Nala, cette fois, ne regarda même pas Damayanti. Il lança les dés.

Damayanti alors connut toute la folie de Nala ; et honteuse, le pas faible, la tête basse, elle se retira dans la chambre où, naguère encore, elle était si heureuse.