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touchante, que nous connaissions de Rachel ; c’est la femme seulement qui nous apparaît ici, et en admirant ce regard si profond, à la fois doux et triste, on oublie volontiers la grande tragédienne pour ne plus voir que la mère si tendre, si aimante et si affligée que nous montrent quelques-unes des plus belles lettres de Rachel.
Georges d’Heylli.
Mai 1882.