blantes et obscures[1]. — Si les veines des mains battent, si le visage est plein et les hypochondres tendus, la maladie dure long-temps[2]. — Chez Pythodore, les pulsations ne cessèrent pas de se faire sentir[3]. — Les veines des tempes battaient[4]. — Les artères des tempes battaient[5]. — Le vin pur, bu en plus grande quantité que d’habitude, produit le battement des veines (παλμόν), la pesanteur de tête et la soif[6]. — Pulsations qui viennent frapper la main avec faiblesse[7], — il faut brûler les veines derrière les oreilles jusqu’à ce qu’elles cessent de battre[8]. — Les veines se soulèvent et battent dans la tête[9]. — Les veines se tendent et battent[10]. — Les tempes sont le siége de pulsations[11]. — Deux veines, qui battent toujours, traversent les tempes[12]. — Dans les fièvres, les battements de la veine située au col et la douleur en ce point se terminent par la dysenterie[13]. — Les fébricitants qui ont de la rougeur au visage, une forte douleur de tête, et un battement dans les veines, sont pris le plus souvent d’hémorrhagie[14]. »
Toutes ces citations montrent que les hippocratiques ont su
- ↑ Épid., 4, p. 330, Éd. Froben.
- ↑ Épid., 2, p. 318.
- ↑ Épid., 7, p 352.
- ↑ Épid., 7, p. 364.
- ↑ Épid., 7, p. 356.
- ↑ De Diæt. in acut., p. 372.
- ↑ De Morb. mul., 2, p. 268.
- ↑ De Morb., 2, p. 142.
- ↑ De Morb., 2, p. 143.
- ↑ De Morb. 3, p. 158.
- ↑ De Morb., 3, p. 159.
- ↑ De Loc. in hom., p. 64,
- ↑ Praen. coac. p. 427.
- ↑ Praen. coac., p. 427.