péripneumonie qui n’a pas atteint l’époque de la fondation de l’école alexandrine[1].
Le Traité de la naissance à sept mois est mutilé, la fin manque ; l’auteur devait écrire sur les corps ; il l’annonce mais cela a péri[2].
L’auteur du Traité de la nature humaine annonce qu’il expliquera les périodes des jours critiques[3], et qu’il a expliqué ce qui a rapport à chaque âge, à chaque saison, à chaque constitution et à chaque maladie[4].
Dans le livre qui est intitulé Du médecin, et qui est relatif surtout à la chirurgie, il est question de plusieurs écrits également perdus dès la plus haute antiquité. Ce sont : un livre sur les médicaments qui ont la propriété de procurer la maturation[5], un livre sur les caractères des ulcères[6], et un livre sur la chirurgie militaire[7].
Enfin, l’auteur de l’opuscule sur l’Art renvoie ailleurs l’examen d’une question de philosophie sur ce qui, dans les noms et les idées des choses, est l’œuvre de l’esprit humain ou l’empreinte même de la nature[8].
- ↑ Κάλλιον δέ μοι περὶ τούτου ἐν τῇ περιπλευμονίῃ δεδήλωται. p. 177, Ed. Frob.
- ↑ Τὰ γὰρ ἐπὶ σώμασι τάδε γράψω. p. 46. Ed. Frob.
- ↑ Τὴν δὲ περίοδον αὖθις φράσω τὴν τῶν ἡμερέων. p. 22, Ed. Frob.
- ↑ Ὥσπερ μοι καὶ πάλαι εἴρηται πρὸς ἑκάστας τῶν ἡλικιέων καὶ τῶν ὡρέων καὶ τῶν ἰδέων καὶ τῶν νόσων. p. 22, Ed. Frob.
- ↑ Τὰ δὲ ἐκπέψαι δυνάμενα ὁμαλῶς ἐν ἑτέροις εἴρηται. p. 14, Ed. Frob.
- ↑ Τούτων ἐν ἑτέροις σημεῖα δεδήλωται. p. 14, Ed. Frob.
- ↑ Περὶ δὲ τουτέων ἁπάντων (les blessures par armes de guerre) ἐν ἑτέροις γεγραμμένον ἐστίν. p. 14, Ed. Frob.
- ↑ Περὶ μὲν οὖν τούτων, εἴ γέ τις μὴ ἱκανῶς ἐκ τῶν εἱρημένων ξυνίησιν, ἐν ἄλλοις ἂν λόγοις σαφέστερον διδαχθείη. p. 1, Ed. Frob.
