Page:Hirsch - Un vieux bougre, 1908.djvu/233

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
229
UN VIEUX BOUGRE

— Ah ! croquants ! riposta Mlle  Rubis.

Mais elle regagna la route, subissant le prestige du bras fort qui la chassait pour la défense du foyer. Et Gaspard contemplait la place vide où la jeune femme s’était montrée. Il semblait malheureux comme d’un nouvel arrachement qui le rejetait, de son passé, vers l’avenir court ; et il murmura encore :

— J’suis un vieux comme tous les vieux… autant crever !