Page:His Last Bow (1917).djvu/155

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qu’un indice nouveau et suggestif avait ouvert la voie à une ligne de réflexion stimulante. Voyez le chien de chasse, oreilles pendantes et queue abattue alors qu’il erre dans son chenil, et comparez-le avec le même chien alors que, les yeux brillants et les muscles tendus, il saisit l’odeur de sa proie —— tel était le changement intervenu chez Holmes depuis ce matin. C’était un homme différent de la silhouette sans ressort attifée de sa robe de chambre gris souris qui errait sans repos il y a à peine quelques heures dans notre appartement cerné de brume.

« Il y a des faits, là. Il y a du potentiel, » dit-il. « Je suis bien lent de n’avoir pas compris ces possibilités. »

« Même maintenant elles me demeurent obscures. »

« La fin m’est aussi obscure, mais je tiens une idée qui pourrait nous mener loin. L’homme a trouvé la mort ailleurs, et son corps était sur le toit d’un wagon. »

« Sur le toit ! »

« Remarquable, n’est-ce pas ? Mais considérez les faits. N’est-ce pas une étrange coïncidence qu’il ait été trouvé au point précis où le train s’incline et oscille alors qu’il négocie un virage sur des aiguillages ? N’est pas l’endroit même où un objet se trouvant sur le toit serait le plus enclin à tomber ? Les aiguillages n’affecteraient aucun objet dans le train. Soit le corps est tombé du toit, soit une très curieuse coïncidence s’est produite. Mais examinez la question du sang. Bien sûr il n’y pas d’épanchement de sang sur la voie si le