Page:His Last Bow (1917).djvu/179

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et délicatement ciselés du Colonel Valentine Walter.

Holmes eut un sifflement de surprise.

« Vous pouvez me tenir pour un imbécile, cette fois, Watson, » dit-il. « Ce n’est pas l’oiseau auquel je m’attendais. »

« Qui est-ce ? » demanda Mycroft avec impatience.

« Le jeune frère de feu Sir James Walter, qui était à la tête du département des sous-marins. Oui, oui, je vois à quoi ressemblent les cartes. Il va bientôt le voir aussi. Je crois que vous feriez mieux de me laisser l’interroger. »

Nous avions porté le corps prostré sur le sofa. Maintenant notre prisonnier était assis ; il regardait autour de lui d’un air horrifié, et se passait la main sur le front, comme quelqu’un qui ne peut en croire ses yeux.

« Qu’est ceci ? » demanda-t-il. « Je suis venu ici voir M. Oberstein. »

« Tout a été découvert, Colonel Walter, » dit Holmes. « Comment un gentilhomme anglais a pu se comporter de cette façon me dépasse. Mais toute votre correspondance et votre relation avec Oberstein nous sont connues. Tout comme le sont les circonstances de la mort du jeune Cadogan West. Puis-je vous conseiller de recouvrer au moins le mérite du repentir et d’une confession, puisqu’il reste quelques détails que nous ne pouvons apprendre que de vos lèvres. »