Page:His Last Bow (1917).djvu/197

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Si ce n'avait pas été si malveillant, j'aurais pu croire que la lumière du réverbère montrait de l'exultation sur son visage.

"J'en ai vaguement entendu parler," dit-il.

Le taxi était arrivé, et je le laissais.

Lower Burke Street s'avéra être constituée d'une rangée de belles maisons nichée à la limite floue entre Notting Hill et Kensington. La maison précise devant laquelle s'arrêta mon taxi avait un air de fière et discrète respectabilité avec ses grilles de fer forgé à l'ancienne, sa porte à battants massive, et ses décorations de bronze. Tout cela allait avec le majordome solennel qui apparu entouré de la rose lueur d'une lumière électrique teintée derrière lui.

"Oui, M. Culverton Smith est ici. Dr. Watson ! Très bien, monsieur, je vais prendre votre carte."

Mon humble titre et mon nom n'impressionnèrent apparemment pas M. Culverton Smith. À travers la porte entrouverte j'entendis une voix haute, pétulante, pénétrante.

"Qui est cette personne ? Que veut-il ? Enfin, Staples, combien de fois vous ai-je dit que l'on ne doit pas me déranger lors de mes heures d'étude ?"

Le majordome émit un flot apaisant d'explications.

"Hé bien, je ne le verrais pas, Staples. Je ne peux pas voir mon travail interrompu comme ça. Je ne suis pas à la maison. Dites le. Dites lui de venir le matin s'il doit vraiment me voir.