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Page:Histoire anonyme de la première croisade, trad. Bréhier, 1924.djvu/270

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  • Angulans (Angulani), corps de troupes de l’armée turque, 49, 113.
  • Ansa, ville de l’Italie méridionale, peut-être Anzi, province et arrond. de Potenza. — Voir Robert de Ansa.
  • Anselme de Ribemont (Anselmus de Ribomont), chevalier. — Meurt pendant le siège d’Archas (févr.-mai 1099), 189.
  • Antioche (Antiochia), ville principale de la Syrie, sur l’Oronte. — Les captifs chrétiens y sont conduits, 11. — L’empereur offre à Bohémond un territoire dans les environs, 31. — Faux bruit de son évacuation par les Turcs (oct. 1097), 63. — Une avant-garde envoyée par Raimond de Saint-Gilles cherche inutilement à surprendre la ville, 63. — Arrivée des croisés devant la ville (20 oct. 1097), 65. — Ils installent leur camp (21 oct.), 67. — Premières escarmouches avec les Turcs et début du siège (oct.-nov. 1097), 71. — Disette au camp des croisés et expédition de ravitaillement (déc. 1097), 71. — Sortie de la garnison turque et combat violent (29 déc. 1097), 75. — Famine au camp des croisés et tentatives de désertion (janv. 1098), 77-79. — L’envoyé impérial abandonne le siège (févr. 1098), 81. — Bohémond arrête une armée turque de secours et remporte une grande victoire (9 févr. 1098), 83-85. — Pendant ce temps, la garnison d’Antioche tente une sortie, repoussée par les croisés, 87. — Les croisés décident la construction du château de la Mahomerie et envoient une expédition à Port-Saint-Siméon (5 mars 1098), 89-91. — Pendant ce temps, sortie de la garnison d’Antioche, qui inflige de lourdes pertes aux croisés, 91. — Le lendemain (6 mars), elle attaque avec succès les croisés revenant de Saint-Siméon, 91. — Les Turcs sont ramenés dans la ville après un violent combat (7 mars 1098), 93-95. — Ils ensevelissent leurs morts, dont les sépultures sont violées par les croisés, 97. — Construction par les croisés du château de la Mahomerie (8 mars 1098), 97. — Ils arrivent à bloquer entièrement la ville, 99. — Firouz, commandant de trois tours, négocie avec Bohémond, 101. — Bohémond se fait promettre par les princes la possession d’Antioche, s’il peut s’en emparer (29 mai 1098), 103. — Étienne de Blois, élu chef suprême, abandonne le siège, 141. — Bohémond arrête avec Firouz le plan de l’entrée des Francs dans la ville et le communique aux chefs (2 juin 1098), 105. — Escalade d’Antioche par les croisés (nuit du 2 juin 1098), 107. — Entrée des croisés dans la ville et massacre des Turcs (3 juin 1098), 109. — Les Turcs se réfugient dans la citadelle, 109. — Le fils de Iagi-Sian livre la citadelle à Kerbôga, 113. — Début du siège d’Antioche par Kerbôga (5 juin 1098), 115. — Il confie la garde de la citadelle à l’un de ses émirs les plus sûrs, 115. — Il attaque la ville (10 juin 1098) et tue de nombreux croisés, 127. — Plusieurs chevaliers désertent la ville et sont massacrés à Port-Saint-Siméon (10 juin 1098), 129. — Le Christ apparaît à un clerc ; récit de sa vision, 129-131. — Vision de Pierre Barthélémi et révélation de la sainte Lance, 133-135. —