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Page:Histoire de Marguerite, fille de Suzon, 1784.djvu/34

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O, s’écria-t-il, la charmante main ! comme elle eſt potelée ! quels beaux doigts ! quelle blancheur ! que je la baiſe encore… Ah ! ma poulette, que la nature vous a bien partagée ; que vos yeux ſont doux ; vos levres ſont plus belles que des roſes ; vos joues incarnates portent un teint frais & vermeil : tout reſpire chez vous, belle ange, les graces dont vous êtes douée ; votre ſein, plus blanc que l’albâtre, trouble mes ſens, & il y porte atteinte ; vos dents, plus blanches que l’ivoire, vous rendent une beauté des plus accomplie. Sa maudite main qu’elle voulut

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