Page:Histoire de la classe ouvrière depuis l'esclave jusqu'au prolétaire de nos jours V1.djvu/59

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chacun n’aspira plus qu’à posséder indépendannnenl < !<■ tOUS ; un grande ri mr fut eonsoinun erime enimnis par Ions, par l’espèce en général, et, ee eriiiio, eVsl h» hrisemenl de rassoeialimi humaine mi la ^mptitlr ifiitiri<it("tl< Dés-lois Féealilé priinilie, ignorante, pour ainsi «lire , dVIIe-ménie, Lvt f j ui pouvait être romplaeée par une é ;;alilr i m Irll n ;i nh organisée, fut rompue, et sur ses ruines sYtaMii la easie, ipii depuis la plus haute antiquité s’est prolongée jusqu a nos jours.

Kl inuinleuanl nous nous posons de noueau ee Ile question. Quelle est Torique de Teselavaee / nous répondons : e’est la rupture de la solidarité humaine, m d’autres tenues, l’origine de Peselavaj ;e , c’est la propriété imlichltiellv. Kl , en effet. , ,

Dans que] luit le >ainqueureonserva-l-il, d’almrd, le V&illCU plutôt que île l’immoler, *oil auv dieux, soit a ^a propre 4 Vengeance ? Kîdemmenl pour tirer profil du I ravail de Tin un nie réduit en e&ehna[ ;e. Doue, la proj*ri<>it’ intliritfwlk et non pas la jjuerre, esl l’orieine île l’esehnaee. Dans quel but, l’homme poursuiu par la misère, qua-t-il >a liberté «-outre les l’ers de lesrhne ? Kidemmeul pour trouver dans ce nouvel étal le pain que la fausse organisation de la propriété m* lui pennellail pas de trouver ailleurs

  • Do ne, la propriété individuelle, et non pas la misère,

est 1 orijjine de l’oselaa< ;e.

Pourquoi, enfin, le père transforma-t-il sa feuune et ses enfants en esclaves ? Kvidommeut en ee qu’étant seul propriétaire, sa femme et ses enfants dépendaient exclusivement de lui. Donc encore, la propriété individuelle et non [vas la misère esl l’onyine de lVseknaye.