Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 1, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/102

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CHAPITRE VII.


Avec quels battemens de cœur, avec quels tressaillemens j’ouvris la chambre où je devais la trouver !

Mademoiselle Adélaïde vint joyeusement à ma rencontre. La baronne, déjà complètement habillée pour le bal, était