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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 1, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/101

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cordantes et aux hautbois criards, étaient arrivés, et il ne s’agissait de rien moins que d’un bal pour la nuit.

Mon grand-oncle préférait le sommeil à ces distractions bruyantes, et avait résolu de rester dans sa chambre. Pour moi, j’étais occupé à m’habiller, lorsqu’on vint frapper doucement à la porte. François parut, et m’annonça d’un air mystérieux que le clavecin de l’inspectrice était arrivé dans un traîneau, et qu’il avait été porté chez la baronne.

Mademoiselle Adélaïde me faisait prier de me rendre auprès de sa maîtresse.