Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 1, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/160

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CHAPITRE XIV.


Enfin les orages de mars avaient cessé de gronder, l’été avait repris tous ses droits ; le soleil de juillet dardait ses rayons brûlans. Le vieillard reprenait ses forces à vue d’œil, et il alla habiter, comme de coutume, une maison de