Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 13, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/221

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le déchire en mille pièces et que je le livre au vent !

— Du tout, dit Théodore ; il faut que tu nous lises ta nouvelle afin d’expier les tourmens que tu m’as causés dans ma maladie, avec tes apparitions tirées des vieilles chroniques.

— Puis-je te refuser quelque chose, mon Théodore ? dit Lothaire en reprenant ses feuillets ; et il se mit à les lire.