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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 14, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/135

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IGNACE DENNER.

rapidement tourner les feuillets du livre de piété, et le faisait même tomber de ses mains, puis un grand éclat de rire se faisait entendre au dehors, et des ailes noires venaient battre la croisée. Et cependant ce n’était que le vent et la pluie d’automne, ainsi que le prétendait Trabacchio, un jour que Geerges pleurait d’effroi.

— Non, s’écria Andrès, votre père maudit n’a pas cessé de communiquer avec vous. Il faut que vous partiez d’ici. Votre logement est dès long-temps préparé dans la prison du château. Là vous ferez vos conjurations à loisir.

Trabacchio pleura amèrement, et pria Andrès au nom de tous les saints, de le souffrir dans sa maison. Georges se joignit à lui sans savoir de quoi il s’agissait.

— Restez donc encore demain, dit Andrès, je veux voir comment se pas-