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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 14, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/139

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IGNACE DENNER.

sans l’ouvrir, dans un gouffre profond.

Dès ce moment, Andrès jouit d’un calme, que nul esprit malin ne vint plus troubler.


FIN D’IGNACE DENNER.