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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 14, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/219

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LE VŒU.

de l’esprit du prince à la vue de ce moine. Il s’approcha davantage, et s’aperçut que son livre de prières était écrit en polonais. Aussitôt il s’adressa au moine dans cette langue. Celui-ci se retourna avec frayeur ; à peine eut-il aperçu le visage du prince qu’il se couvrit de son capuchon, et s’enfuit à travers les broussailles. Le prince Boleslaws assurait que le moine

n’était autre que le comte Xavier.

FIN DU TOME XIV.