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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/197

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nant avec peine il quitta la chambre.

— Que signifie ceci ? dit Hartmann.

— Hem ! repartit Willibald, des sorcelleries, des diableries; je crois que tu avais raison de dire que le bât qui la blesse devait être lourd et gênant. Ou bien le comte Franz est vraiment coupable, ou bien la pensée du sort d’Amélie dans les brigands de Schiller, que je lui ai rappelée sans précaution a brisé son cœur. Je n’aurais pas dû parler. Mais aussi qui pouvait savoir....

Hartmann interrompit son ami en disant :

— Cette seule circonstance de se voir subitement placé dans le rôle de cet infernal bâtard suffit pour expliquer son trouble, et certes tu aurais bien mieux fait de ne pas lui dire la vérité, et d’inventer plutôt quelque