Aller au contenu

Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/196

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

comme c’est ordinairement le cas dans les caractères vicieux, je ne voudrais ni ne pourrais m’y opposer.

— Eh bien, continua Willibald, hier au soir, tout en plaisantant, mon ami remarquait que nous trouvions réunis dans un vieux et riche château, tous les principaux personnages des brigands de Schiller, sauf Hermann et Daniel; lors donc qu’à table un vieux serviteur nommé Daniel....

Willibald se tut, car il vit qu’une pâleur mortelle couvrait le visage du comte, et qu’il pouvait à peine se soutenir.

— Pardonnez - moi, murmura Franz; pardonnez-moi, messieurs, une espèce de vertige... je me suis senti tout à coup malade !... et se traî-