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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/235

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forêt, et il paraissait blessé à mort.

— Oh ! fuyons ce théâtre de désolation, s’écrièrent les deux amis, et ils continuèrent rapidement leur voyage.

DEUX LETTRES.

Plusieurs années s’étaient écoulées ; Hartmann, lancé dans la carrière diplomatique, avait été envoyé en ambassade à Rome et ensuite à Naples. Ce fut de cette dernière ville que Willibald reçut la lettre suivante :

HARTMANN A WILLIBALD.

Naples, le

Je t’écris, mon cher Willibald,