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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/264

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WILLIBALD A HARTMANN.

Tœplitz, le......

Je ne puis, je n’ose te dire quelle impression a produit sur moi la lecture de ta lettre. Ta rencontre avec cet ecclésiastique dans un pays étranger et lointain, a vraiment quelque chose de mystérieux; mais la mienne l'est peut-être encore bien plus !

Je vais tout t’apprendre en peu de mots.

Hier matin, de bonne heure, je fis...... — Mais pourquoi à Tœplitz ? me diras-tu ?.... — Ma foi, c’est ma maladie habituelle, ma fatale humeur noire, mon hypocondrie, comme l’appelle le médecin, nom que je hais et qui ne saurait s’appliquer à ce qui me tourmente, ce sont toutes ces causes qui m’y ont amené, Ainsi donc, hier