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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/274

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Lorsque Hartmann revit son ami à Berlin, il le trouva, à la vérité, rétabli du malaise physique qui menaçait sa santé; mais encore maintenant, lorsque le soir réunit les deux amis auprès d’un feu bienfaisant, ils ne peuvent penser sans frémir à cette sanglante tragédie, dont le premier acte se passa devant eux en Bohême.

FIN