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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/273

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elle crie ainsi : Sauvez-moi ! sauvez-moi ! mes paroles suffisent pour arrêter sa colère; elle court empaqueter ses bijoux, puis bouleverse toute sa chambre, jusqu’à ce qu’elle tombe dans un profond sommeil dont elle se réveille tranquille et calme. —

En rentrant chez moi, j’ai trouvé ta lettre !....

O Hartmann ! mon tendre ami, nous nous trouvions au milieu des brigands de Schiller, disais-tu jadis, et cette pensée que nous oubliâmes bientôt comme une folie, mit en mouvement l’effroyable catastrophe qui détruisit pour jamais mon bien-être, et m’ébranla jusque dans mes forces les plus intimes.

Adieu.