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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/46

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que préparent si bien les vieilles femmes; et elle me verra avec plaisir fumer avec toi une pipe de bon varinas qu’elle aura chargée, et que j’allumerai avec des allumettes qu’elle aura faites de morceaux des manuscrits de son mari, destinés à devenir la proie des flammes. Mais si tout à coup les orages de la vie viennent faire irruption dans ce calme qui, pour moi du moins, présente l’aspect désespérant d’un désert ? Si.... — Tu crois, que si des accidents malheureux , des maladies surviennent.... — Je crois, continua Sévère, qu’un jour deux yeux, dont le regard pénétrera ton cœur, changeront ta vie.... — Je ne te comprends pas. Sévère continua sans faire atten-