cadette, et nous ne ferons jamais grand’chose de toi.
Félix n’avait pas du tout compris son oncle, et M. de Thaddeus de Brakel prétendait que cela n’était pas du tout nécessaire.
En ce moment l’oncle se mit à raconter à sa grosse femme comment Félix l’avait pris pour le roi, et elle s’écria : — O douce et touchante innocence ! Félix et Christlieb furent obligés de sortir de leur coin, où ils mangeaient leur gâteau en badinant et en riant. La mère leur essuya la bouche, et les remit au gracieux oncle et à la gracieuse tante, qui les embrassèrent et leur mirent deux boites dans la main en s’écriant à chaque instant : — O douce nature ! belle innocence des champs ! M. Thaddeus de Brakel et sa femme pleuraient de joie de la bonté de leurs nobles parens.