Aller au contenu

Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 7, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/29

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

MAITRE FLOH. IQ mais il était impossible de pratiquer avec lui une méthode systématique, telle que les précepteurs le voulaient ; car il n’avait de pensée que pour ce qui touchait son âme , et tout le reste passait devant lui sans laisser de traces ; et ce n’était jamais que les choses merveilleuses et bizarres qui frappaient son imagination et qui absorbaient son esprit. — Ainsi , on lui avait fait présent d’une vue de la ville de Pékin, avec toutes ses rues, toutes ses maisons, etc. Ce tableau couvrait toute une muraille de sa chambre. A la vue de cette ville miraculeuse, de ce peuple merveilleux, qui semblait se fouler dans les rues, Pérégrinus se seîitit transporté dans un autre monde où il se trouvait à l’aise comme dans sa patrie. Uae curiosité brûlante le porta à rechercher tout ce qu’il put trouver sur la Chine, sur Pékin et sur