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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, tome III.djvu/206

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vers le feuillage, tandis que les voix mystérieuses du bois vibraient plus mélodieusement encore.

Balthasar retourna à Hoch-Jacobsheim enivré du plus doux espoir, et le cœur plein d’un voluptueux ravissement.